
Initialement, le débat télévisé devait me tranquilliser.
J’en ressors plus convaincu encore de l’imminence du danger pour nos institutions et notre démocratie. La voix plus calme qu’avant de la xénophobe et ses propositions « sociales » sont l’enrobage douceâtre qui doit faire passer le poison.
Rappelons nous, le 24 avril au moment de nous exprimer dans les urnes, que le nationalisme —à l’instar d’Orban en Hongrie— ne fait pas qu’endormir la démocratie, il la tue !
Le précédent hongrois n’est d’ailleurs pas isolé. La Slovénie est en train de connaître exactement la même dégringolade.
Et cela va, hélas, toujours beaucoup plus vite que l’on croit !